La Direction régionale de santé publique veut ouvrir d'autres points de services pour les utilisateurs de substances psychocatives qui souhaitent consommer sous supervision.
Le premier service de consommation supervisée de la capitale ne suffit plus. Après trois ans d'opérations, l'achalandage dépasse désormais les 25 000 visites annuelles à L'Interzone, dans Saint-Roch, forçant la main des autorités de santé publique à bonifier leur offre.