Un an après l'ouverture du premier service de consommation supervisée à Québec, la fréquentation est « nettement supérieure » à ce qui était prévu.
L'implantation d'un service de consommation supervisée (SCS) était réclamée depuis plus d'une décennie dans la capitale, en particulier par les consommateurs eux-mêmes et par les organismes communautaires.