Depuis plus de 10 ans, la SABSA fait jaser dans la presse écrite, ainsi qu'à la radio et à la télévision. Suivez nos actualités pour ne rien manquer de nos développements.
Identifier la composition de la drogue que les gens consomment est l'une façon de prévenir les surdoses. C'est ce que fait l’organisme SABSA pendant l'été à l'occasion de plusieurs festivals.
"Certaines personnes cherchent à simplement savoir si ce qu'ils ont acheté est réellement la substance attendue, d'autres cherchent à savoir si elle est contaminée par une autre substance qu'ils ne désirent vraiment pas consommer. Certains vont simplement être curieux de connaître les composantes chimiques pour en savoir plus sur leur consommation. Donc on peut déjà prévenir les surdoses en identifiant ce que la personne consomme."
Après quelques tests lors du Festival d’été de Québec (FEQ), la clinique de proximité se déplace au Festif! de Baie-Saint-Paul pour assurer la sécurité des consommateurs. Ainsi, les festivaliers pourront aller à la rencontre des responsables, qui pourront analyser leurs substances susceptibles de contenir du fentanyl ou d’autres contaminants.
La co-porte-parole de Québec solidaire Manon Massé était accompagnée de son collègue et député de Taschereau, Étienne Grandmont pour offrir la médaille de l'Assemblée nationale aux dirigeants des quatre sites de consommation de drogue supervisés à Montréal et du seul à Québec, l'Interzone.
Vous connaissez leur mission et leurs valeurs ? Découvrez, avec Amélie Bédard et Emmanuelle Lapointe, qui fréquentent cet organisme qui offre des services de santé auprès des plus vulnérables. Voilà un service essentiel dans notre région !
La clinique SABSA (Service à bas seuil d'accessibilité), qui vient en aide aux patients marginaux des quartiers centraux de Québec depuis 2010, ouvre rarement ses portes aux caméras de télévision. L’animateur du Téléjournal Québec, Bruno Savard, a obtenu ce privilège. Il est allé à la rencontre de ses principaux acteurs. Il nous raconte leur histoire.
Une clinique de Québec qui fonctionne sans médecin est toujours en activité, mais son financement est difficile, d'année en année.